Deuxième double ronde, jouée dans les locaux du club de Schwarz-Weiss, au restaurant Muygut à Wabern.

ECHALLENS JI (1998) - PAYERNE JI (1836) 3,0-1,0
================================================
POMINI Aurélien (2180) - STIJVE Theo (1916) 1-0
ADVE Anshul (2065) - HOFMANN Colin (1827) 1-0
CORDEY Loïc (1947) - MEGRET Jean (1804) 0-1
WILLIAMS Johann (1800) - RADERMECKER Maxime (1798) 1-0

Match très tendu entre deux équipes qui se connaissent parfaitement. Mis à part Loïc, qui s'est fait placer un sacrifice gagnant sur son roque, il fallait attendre 2h pour que sur les autres échiquiers les positions se décantent. Aurélien gagne un pion après 1h50 de jeu. Son adversaire gaffe juste après, en croyant récupérer son pion de retard, mais le Challensois cloue puis ramasse une pièce (1-0). Peu après, Loïc, après avoir encore subi deux pseudo-sacrifices, abandonne avant de perdre sa Dame (1-1). Anshul avait une forte avance au temps. Son adversaire arrive en grand zeitnot et gaffe en lâchant une pièce (2-1). Tous les regards se sont alors posés sur l'échiquier de Johann. Si son adversaire échange deux pièces pour Tour et deux pions, Johann sacrifie un autre pion pour une bonne initiative. Et la tactique fait le reste: une combinaison en trois coups permet au Challensois de gagner une pièce (3-1).

SCH.-WEISS BERN JI (1813) - ECHALLENS JI (n.c.) 2,0-2,0
================================================
DUONG Yisam (1959) - POMINI Aurélien (2180) 0-1
DIETIKER Manuel (1923) - CORDEY Loïc (1947) 0-1
HUBACHER Fabian (1804) - ? 1-0F
MICCOLIS Timur (1662) - ? 1-0F

Avec Anshul qui devait rentrer pour l'après-midi, et Johann qui avait déjà disputé la ronde 5 avec Echallens J2, l'équipe fanion s'est retrouvée à jouer à deux (2-0). Aurélien doit faire face à une surprise dans l'ouverture. Loïc se développe normalement et prépare son attaque à l'aile-Roi. Après 1h30 de jeu, Aurélien se voir offrir un pion et une excellente case pour son Cavalier qui commence à dominer le mauvais Fou adverse. Avec une forte pression sur le roque adverse, le Challensois pousse son adversaire à craquer en zeitnot (2-1). Loïc semble se diriger vers la nulle, mais le Bernois pousse alors un pion qui permet de créer une brèche pour le Roi du Challensois. Loïc en profite et sa technique en finale de Fous est irréprochable pour gagner un pion et se créer un très fort pion passé (2-2).
L'essentiel est sauf. Avec ce match nul, les Challensois conservent le premier rang au classement.